Fangaliel

Quand le statut cohabitant·e rend combatif·ve

Bonjour,
Les politiques qui ne veulent pas en finir avec le statut cohabitant clament toujours que ce sont les « couts » que ça va engendré qui les bloquent.
Le problème vient surtout de leur mentalité « profit à court terme », car donner l’indépendance financière à tout ça de personnes actuellement bien en dessous du seuil de pauvreté à cause de ce statut, c’est donner à tous ça de personne l’opportunité de se soigner correctement, voire de faire de la « prévention », de pouvoir mieux entretenir le logement, de pouvoir mettre de coté, faire de l’épargne plutôt que d’être obligées de faire des crédits car le revenu mensuel n’est pas suffisant pour épargner quoi que ce soit, ce n’est déjà pas suffisant pour avoir une vie « digne », c’est aussi tous ça de personnes qui pourraient enfin participer à la transition climatique, qui peuvent du coup, investir dans l’isolation de leur habitat, plutôt que de le laisser détériorer par manque de finances.
Bref, individualiser le droit à une vie digne, à un toit au dessus de sa tête, oui c’est un « investissement » de 2 milliards d’euros. Mais dans le moyen et long terme ce sont DES milliards d’Euros que le peuple tout entier va gagner : moins de malades qui ne savent pas se soigner par manque d’argent, moins de logements passoires occupés par des personnes isolées car cohabiter retire trop de revenu, moins de travailleurs qui, par besoin de survivre prennent n’importe quel emploi, qui ne leur convient pas (=> moins de pression sur les salaires et de mise en précarité du marché de l’emploi) mais c’est ça ou crever de faim ou d’une bête grippe car on a pas l’argent pour aller chez le docteur.
Mais nos politiques ne savent absolument pas penser en « long terme », surtout lorsqu’il s’agit d’investir du pognon maintenant pour le récupérer sur le Long terme. Ils ne savent déjà pas suivre un « fil rouge » de promesses électorales, alors concrétiser jusqu’au bout des changements comme celui-ci…

E D

Hoe de samenwoningstatus mensen isoleert van wederkerigheid/handicap

Ik heb een chronische ziekte waardoor ik in onmiddellijk ingang thuis werd gezet. Dit was een complete schok voor mij ik was toen met een opleiding bezig en halftijds aan het werk. Op die moment wou ik iets van mijn leven maken en aan mijn kinderen laten zien waar een wil is een weg. Ik wij gaan studeren op het beter te hebben. Dat werd mij abrupt ontnomen. Nooit gewild dat ik ziek werd en niet meer kon werken. Ik viel op statuut samenwonende, dit is pure schande ik heb het minimum met drie kinderen. Wij moeten elke dag knokken om rond te komen. Ziekenhuisbezoeken stel ik gewoon uit omdat ik mijn kinderen alles wil kunnen geven wat ze nodig hebben dan bedoel ik basisbehoeften want van extra of luxe moeten we niet dromen. Pure schande hoe wij hier verder moeten…

Maxime

Comment le statut cohabitant·e complexifie la vie des personnes qui sont en incapacité de travail

Étant atteint de mucoviscidose, je perçoit une allocation de remplacement de revenus pour me soigner et vivre. La mucoviscidose est une maladie génétique qui me prend beaucoup d’heures pour me soigner.

Par jours prise de médicament, Kinésithérapeute, sport, rdv médicaux cette maladie prends +- 3 a 4h de traitements, ayant des rendez-vous réguliers à l’hôpital et pas mal de limitation il est compliqué de trouver un travail qui correspond à cette maladie et ses demandes.

Étant en couple, madame gagnant plus….je perds tout mon remplacement de revenus si nous nous domicilions.
Donc madame doit travailler pour me soigner.

Ce qui n’es pas normal
Je souhaite que mon témoignage puisse aider à supprimer ce statut qui Handicape les handicapés

Ma conjointe n’a pas à payer pour une maladie qui n’es pas la sienne

Jessica

Comment le statut cohabitant·e précarise encore plus les personnes déjà précarisées

Bonjour, Je vis avec mon conjoint et son papa. Je viens de perdre mon travail et suis au chômage depuis 1 mois. Pour le moment, je touche 1300€/mois. Mon copain ayant eu des problèmes financiers en tant qu’indépendant a dû se mettre au chômage (- de 600€/mois) et son papa va bientôt être pensionné mais est actuellement au chômage suite à la perte de son travail durant le covid (1500€/mois). Notre loyer est de 950€ (1 chambre) sur Bruxelles qu’on paye avec son papa. Individuellement, on paie 200€ de charges d’énergie à payer+ 600€ de nourriture + internet tv (80€) + gsm (50€)+ les dettes 150€ + la mutuelle 30€ + divers + cigarettes 350€. Le problème c’est qu’à pars diviser le loyer, on doit payer tout le reste tout seul, on ne reçoit pas d’aide de son papa ni pour la nourritures, ni pour la mutuelles et les soins de santé, ni pour les factures d’énergies, ni les dettes ou les loisirs et ni tous les imprévus comme devoir acheter un frigo par exemple,… Son père également à beaucoup de frais à payer individuellement dont on ne peut l’aider. Et notre chômage va diminuer d’ici 3 mois, si toujours pas trouver de travail, alors qu’on a beaucoup de frais à payer individuellement qui, eux, ne diminuent pas et on n’a même pas la possibilité d’avoir des loisirs. L’état ne tient pas compte du fait qu’en tant que cohabitant les personnes ne s’entraident pas forcément suffisamment que pour pouvoir vivre décemment et ils ne tiennent pas compte de la hausse des prix dans les magasins qui sont devenus tellement chers que c’est pas évident de tenir les fins de mois alors s’il vous plait ABOLISSEZ LE STATUT DE COHABITANT !

Val

Comment le statut cohabitant·e est une épée de Damoclès au-dessus de la tête de celles et ceux qui doivent le vivre

Je suis actuellement cohabitants avec charge de famille(1700€) d’ici peu ma fille qui vit toujours avec moi ,aura droit elle aussi au chômage.
Nous allons donc passer toutes les deux au statut cohabitants (630€ chacune) . Je vais donc perdre plus de 400€ après mois. Avec le même loyer,les mêmes charges. Situation invivable. J’espère retrouver du travail avant cette date fatidique ou la vie va devenir de la survie

Marie

Comment le statut cohabitant·e impacte les personnes à la mutuelle/invalidité

En tant qu’indépendante le médecin m’a signé une incapacité de travail une fois. J’étais scandalisée d’apprendre qu’en vivant en colocation, sans aucun lien de parenté, j’étais considérée comme cohabitante et à cause de ça, j’allais toucher moins d’indemnités. Mon but principal en habitant en colocation c’est de diminuer mon loyer, pas d’être discriminée…

Lise

Comment le statut cohabitant·e est empreint de patriarcat

J’ai repris les études en promotion social et mes allocations de chômages on diminué, je perçois à peu près 410€… c’est une honte, heureusement que mon compagnon me soutient dans la continuité de mes études, nous n’avons d’autres choix que de se serrer la ceinture pour pouvoir vivre…

Fabrice

cComment le statut cohabitant·e pénalise les solidarités

Je suis retourné vivre chez ma maman car elle était seule et en mauvaise santé.
Je n’ai pas droit à une défense juridique sociale car on tient compte de ses revenus, je n’ai pas l’allocation chauffage car on tient compte de ses revenus.
Nous avons une feuille d’impôts bien distincte et payons chacun nos factures, je trouve ça honteux d’être pénaliser en voulant aider sa mère pour qu’elle reste chez elle le plus longtemps possible.
Fabrice

Lisa

Hoe het statuut samenwonende huidige en toekomstige levensstijlkeuzes beïnvloedt

Ik ben een 30 jarige vrouw en sukkel al 10 jaar met angst en depressie. Ik heb gedurende deze periode full-time proberen werken. Maar wegens mijn mentale gezondheidsproblemen lukte het mij niet en overdeed ik mijzelf telkens, met vaak een nieuwe episode tot gevolg. De pandemie heeft zeker niet geholpen om mijn leven terug op de rails te krijgen. In de laatste 5 jaar heb ik kunnen rekenen op steun van onze sociale zekerheid en mijn ziekteverzekering in de vorm van werkloosheidsuitkeringen en ziekte-uitkeringen. Zonder deze uitekeringen zou ik het financieel enorm moeilijk gehad hebben. Op dit moment ben ik deeltijds aan de slag en krijg ik ook een inkomens garantie uitkering bovenop mijn deeltijds loon. Dit zorgt er voor dat ik langzamerhand kan herstellen en werken aan mijn veerkracht om uiteindelijk full-time terug te gaan werken. Ik woon op dit moment samen met een huisgenoot in een rijhuisje als co-housing. We delen alle kosten gelijk en hierdoor kan ik comfortabel wonen en terzelfdertijd mijn onafhankelijkheid behouden. Ik heb sinds een klein jaartje eindelijk een gezonde en stabiele relatie, en ik zou graag gaan samenwonen met mijn vriend. Maar hierdoor zou ik het statuut van samenwonende krijgen waardoor ik een groot deel van mijn uitkering zou verliezen en ik meer afhankelijk zou worden van mijn partner. De samenlevingsvorm zou exact dezelfde zijn als die met mijn huidige huisgenoot, alleen zouden we een bed delen. Dit legt een enorme druk op onze prille relatie en mijn mentale gezondheid. We leven al lang niet meer in de tijd dat een enkel inkomen voldoende is om een heel gezin te onderhouden. Waarom wordt dit dan verwacht wanneer een samenwonende ziek of werkloos wordt. De stad waar ik woon en werk kampt met een huur en woningscrisis. Dus twee volwaardige lonen zijn nodig om ergens te kunnen wonen. Het samenwonen zou mij enorm kunnen helpen om aan een stabiel leven en toekomst te werken, maar de financiële druk zou dan roet in het eten gooien. Het statuut van samenwonende is niet meer van deze tijd. Er zijn ook onvoldoende veilige, gezonde en comfortabele woningen voor alleenstaanden.

Louise

Comment le statut cohabitant·e isole les personnes à la mutualité/invalidité

Stop au statut cohabitant et à l’impôt sur les indemnités de maladie
Je vis avec mon enfant et ai des indemnités de la mutuelle.
Pour ça je dois payer des contributions énormes et je dois demander plan de paiement pour y arriver.
Plus les jours passent, plus je suis pauvre. Les loyers sont chers, les charges électricité mazout, alimentation.
Je ne sais plus quoi faire
Nous devons nous passer de beaucoup de choses, soins de santé, médicaments,aucune sortie ni plaisir ni vacances
Avec ses lois, le gouvernement nous empêche de vivre dignement
Stop au statut cohabitant et à l’impôt sur les indemnités pour cause de maladie.